Bonjour à toi,

Cette semaine, cash is king.

Mais l’adage mérite d’être mis à jour : cash is king… and proximity is power.

Le guide « Tous responsables » du gouvernement remet la question sur la table de la résilience : en cas de black-out, de cyberattaque ou de réseau à terre, le paiement le plus moderne n’est pas toujours le plus fiable. Quand le digital trébuche, c’est la proximité - le commerçant, le buraliste, l’humain - qui prend le relais.

C’est exactement ce que rappelle l’ascension de FDJ Services, qui transforme le réseau de proximité FDJ en une infrastructure de paiement hybride capable d’encaisser l’État, les entreprises et le quotidien. Une démonstration limpide : la résilience n’est pas seulement une affaire de technologie, mais d’ancrage territorial.

À l’heure où nous voyons les grands acteurs accélérer sur l’agentic commerce, les stablecoins, et où l’on sait que le futur du paiement continuera à s’enfoncer toujours plus en ligne, une vérité très simple refait surface : quand tout devient digital, c’est le physique qui rassure - et la proximité qui tient le système.

À très vite,
Chloé

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En cette journée des Entretiens CB, où tout l’écosystème s’interroge sur l’avenir du paiement en France, difficile de ne pas remettre CB au centre de la conversation. Dans un paysage bousculé par les schemes internationaux, les wallets mondiaux et les projets européens, Philippe Laulanie rappelle une chose essentielle : la France possède déjà un réseau solide, éprouvé et souvent sous-estimé.

Dans un contexte français où la carte est devenue le moyen de règlement le plus utilisé en points de vente, où le développement du paiement mobile va croissant et où le e-commerce concentre désormais un quart des transactions réalisées, les menaces planant sur les systèmes de paiement n’ont jamais été aussi fortes qu’aujourd’hui. Ces derniers résisteraient-ils en cas d’incident grave touchant les infrastructures de réseaux?