Bonjour à toi,

Je suis très heureuse de te retrouver dans cette nouvelle édition de Paiement.fr

Il y a des chiffres qui donnent le sourire : 1040 abonnés à l’heure où j’écris ces lignes. Quand j’ai lancé le média, je n’étais pas certaine que le paiement puisse susciter autant d’attention. Et pourtant, chaque semaine, vous êtes plus nombreux à lire, commenter, proposer des sujets - souvent très techniques, parfois politiques.

Cette semaine, j’ai voulu revenir aux fondations, regarder ces infrastructures sans lesquelles tout le reste s’écroule. Le Banking-as-a-Service, c’est un peu la plomberie de la fintech européenne - invisible mais vitale.

Et parmi les acteurs qui comptent, il y a Treezor, ce pionnier qui a permis à toute une génération de fintechs de se lancer, avant de devenir une brique stratégique au sein de la Société Générale.

Derrière ce modèle, il y a une idée simple : rendre la complexité invisible, pour que d’autres puissent innover plus vite.

Le prochain sujet sur lequel on travaille - l’orchestration des paiements - prolonge en quelque sorte cette réflexion : au-delà de poser la tuyauterie, comment les entreprises reprennent la main sur leurs flux, leurs prestataires et leurs règles du jeu (si vous travaillez sur ces sujets, on est très preneurs d’échanger avec vous !).

Mais chaque chose en son temps. Aujourd’hui, on soulève le capot - et on regarde comment Treezor s’est développé.

À très vite,

Chloé

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Treezor encaisse, stabilise et prépare la suite

L’acteur historique du BaaS en France continue de structurer les paiements de dizaines de plateformes européennes, malgré les turbulences, j’ai échangé avec son CEO André Gardella pour comprendre comment Treezor stabilise sa trajectoire, affine son produit, et se prépare à la suite.

Les mouvements

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Premier jour officiel de la mise en place de la Verification of Payee